Règlement de l’Assemblée (janvier 2023)
(Résolution 1202 (1999) adoptée le 4 novembre 1999) avec modifications ultérieures du Règlement* ![* Résolutions 1220 (2000),
1234 (2000), 1235 (2000), 1266 (2001), 1275 (2002), 1284 (2002),
1296 (2002), 1325 (2003), 1343 (2003), 1348 (2003), 1356 (2003),
1368 (2004), 1369 (2004), 1379 (2004), 1395 (2004), 1431 (2005),
1432 (2005), 1445 (2005), 1447 (2005), 1448 (2005), 1490 (2006),
1491 (2006), 1503 (2006), 1504 (2006), 1515 (2006), 1529 (2006),
1554 (2007), 1583 (2007), 1584 (2007), 1585 (2007), 1658 (2009),
1698 (2009), 1699 (2009), 1712 (2010), 1780 (2010), 1799 (2011),
1841 (2011), 1842 (2011), 1854 (2011), 1903 (2012), 1911 (2012),
1937 (2013), 1965 (2013), 2002 (2014), 2058 (2015), 2102 (2016),
2169 (2017), 2182 (2017), 2208 (2018), 2278 (2019), 2287 (2019),
2349 (2020), 2350 (2020), 2360 (2021), 2392 (2021), 2405 (2021)<br><br>La forme masculine utilisée dans le Règlement désigne aussi bien les femmes que les hommes, sauf si le contexte indique clairement le contraire. Les mots "président", "vice-président", Secrétaire Général",
"représentant", "suppléant", etc. font référence à des personnes des deux sexes.](http://assembly.coe.int/nw/images/icon_FootnoteCall.png)
Imprimer
Langues
et comptes
rendus
Retour au sommaire
Atteindre l'élement suivant
Atteindre l'élement précédent
Article 30 - Interprétation en commission
30.1. L’interprétation lors des
réunions des commissions et du Bureau est assurée dans les langues
officielles et, pour les langues de travail, dans les conditions
prévues à l’article 28.3.
. L’interprétation
lors des réunions de la commission sur l’élection des juges à la
Cour européenne des droits de l'homme et des sous-commissions est
limitée aux langues officielles. ![Voir aussi
{P: CEGFHEGH}
et suivantes ci-après.](http://assembly.coe.int/nw/images/icon_FootnoteCall.png)
![](http://assembly.coe.int/nw/images/insert-cross-reference-16.png)
![Voir aussi
{P: CEGFHEGH}
et suivantes ci-après.](http://assembly.coe.int/nw/images/icon_FootnoteCall.png)
30.2. Sous réserve
de l’accord du président de la commission, un orateur qui parle
une langue autre que l’une des langues officielles ou de travail
est autorisé à se faire assister d’un interprète. Il est procédé
alors, dans la mesure du possible, à l’interprétation dans les mêmes conditions
qu’en Assemblée.